L’imprécision
de ses plans, son besoin de les retravailler sans cesse, son caractère
fantasque n’arrangèrent rien à l’affaire. Sujet à
de brusques illuminations, paranoïaque, se méfiant de tout
et de tous, l’architecte se levait la nuit pour modifier ses dessins.
Critiqué
par des parlementaires de plus en plus excédé par ces débordements,
il protestait au nom du respect de sa liberté d’artiste, disparaissant
dans la nature et faisant détruire à son retour ce qui avait
été construit entre-temps.
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