Arrivé
à l’oasis, le chameau boit une énorme quantité d’eau.
Presque
instantanément, il retrouve son volume normal.
A
la lumière de ce qui précède, on comprend deux choses
:
-
qu’il
y ait si peu d’oasis dans le désert.
-
l’origine
du surnom dont on affuble le chameau :
«
le soiffard de Sidi-bel-Abbes ».
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