Au début du XIXe siècle, Alger était une ville importante de la régence d’Alger, faisant partie de l’Empire ottoman. La ville était entourée d’un ancien rempart qui avait été construit au XVIe siècle pour la protéger des attaques extérieures. Ce rempart était composé de murailles épaisses et de plusieurs portes fortifiées, telles que la Porte Bab Azoun et la Porte Bab El Oued.
La mosquée de la Pêcherie, également connue sous le nom de mosquée Ketchaoua, était l’une des principales mosquées d’Alger à cette époque. Elle avait été construite au XVIIe siècle, mais elle avait subi des modifications et des ajouts au fil des ans. La mosquée était un exemple de l’architecture ottomane, avec son minaret élancé et son dôme central.
La Grande Mosquée, quant à elle, était un autre édifice religieux important d’Alger. Aussi connue sous le nom de mosquée Djamaa el-Kebir, elle était située dans la vieille ville d’Alger, la Casbah. La mosquée avait été construite au XIe siècle et avait subi des rénovations et des agrandissements au fil du temps. Elle était un symbole de l’architecture islamique en Afrique du Nord, avec son minaret octogonal et sa cour intérieure ornée de mosaïques.
Alger au début du XIXe siècle était une ville animée et commerçante, avec un mélange de cultures et de religions. La présence française commençait également à se faire sentir, marquant le début de la colonisation française de l’Algérie. Au fil du siècle, Alger a subi d’importants changements avec l’urbanisation croissante et la modernisation de la ville, qui ont transformé son paysage urbain.
Illustration: dessin de Jean Fernandez publié dans L’Obs. Le texte historique est signé… ChatGPT.