Le Tokyo de Jean-Christophe Grangé
Tokyo, ville kaléidoscope
« Tokyo est une ville kaléidoscope. A chaque angle de rue, le jeu des façades, l’agencement des enseignes forment un nouveau tableau. Tournez, les tons changent, les formes se modifient, au gré de combinaisons infinies. »
« Tokyo fonctionne à deux vitesses. D’un côté, les artères immenses, les ponts de béton, les marées humaines. De l’autre, les quartiers minuscules, les ruelles obscures flanquées de façades aveugles et de bannières flottante. »
« La rue qu’ils descendaient était typiquement japonaise : une chaussée sans troittoir, serpentant en douceur, un sol marqué par de larges caractères, des mures aveugles protégeant des villas invisibles, des arbres s’inclinant avec bienveillance vers le bitume. Parfois de minuscules bazars, débordant d’objets hétéroclites, faisaient saillie, avec une mama-san postée sur le seuil. Et toujours les fils, les câbles, les enseignes pour relier tout ça à la manière d’une toile d’araignée. »
Shibuya
« Shibuya est un des quartiers les plus modernes de Tokyo. Néons bigarrés, façades de verre, magasins de high-tech, gamines kawaii : tout le monde connait ces images. »
A découvrir sur le site Incontournable Tokyo.
Crédit photos: Quartier de Shibuya par Okajun et Kakidai / Wikimedia Commons